Cette oeuvre met l’accent sur une approche résolument ludique, poétique et sonore de la langue, associée aux arts numériques et sonores (mapping, capteurs sonores, informatique) qui lui donnent toute sa dimension.

Sylvie Santi écrit oralement une mélodie du sensible inspirée par les mots avec lesquels elle aime jouer, soustraire ou additionner diverses syllabiques, et imagine cette langue sensitive et organique sur plusieurs points de diffusion.

Mixée avec des sons inspirés de différents univers, cette langue enregistrée dans les larmes gouttes lumineuses et celle diffusée en temps réel raconteront ensemble une histoire.

Une créature arrive et découvre “un Chagrin de ciel”.
Elle tente d’apprivoiser les larmes dames et cherche une langue commune qui fait sens par le jeu. Un dialogue s’installe.